
Dans Terrorist assemblages : homonationalisme in queer times, Jasbir Puar contextualise l’homonationalisme dans la société étasunienne des années 2000. L’homonationalisme y est la preuve d’un changement de paradigme en apparence, à la fois au niveau social et institutionnel. Cela intervient plusieurs décennies après la création du Front de libération Gay (FLG) ainsi que les revendications antérieures liées aux émeutes de Stonewall de 1969 qui ont marqué un tournant décisif dans la politisation de la condition des minorités sexuelles et de genre (MSG) étasuniennes, poussées par les communautés noires et latinos. Ces changements sociaux depuis les années 1970 ont peu à peu donné à une partie des MSG étasuniennes issues des classes moyennes, favorisées et souvent blanches, l’opportunité d’intégrer le paysage médiatique, militaire, économique et politique. Grâce à la dépénalisation du mariage pour toutes et tous, de la gestation pour autrui (GPA) et de la procréation médicalement assistée (PMA) quelques décennies après, ce phénomène a largement permis une assimilation à l’hétéronormativité (défini comme étant l’ensemble des relations, actions, institutions et savoirs qui constituent et reproduisent l’hétérosexualité comme « norme »).
De manière succincte, l’homonationalisme peut se définir comme étant l’association favorable entre une idéologie nationaliste et la défense des droits des minorités sexuelles et de genre. Dans les faits, elle vise à justifier idéologiquement, entre autres, une hiérarchisation culturelle, des interventions militaires, des sanctions économiques, politiques ainsi que migratoires sur des pays, des populations et des ressortissants du Sud global. Parce que le droit des MSG est devenu de nos jours (et cela en quelques années) une ligne de démarcation du progrès, elle est aussi devenue un instrument dans les joutes parfois idéologiques que sont les relations internationales. Nombreux dès lors, sont les pays qui voient dans la décriminalisation de l’homosexualité (et par la même occasion le droit au mariage pour tous/toutes) un signe d’une avancée culturelle et civilisationnelle vers une modernité et/ou un progrès.
Bien que louable et partant d’une bonne intention, les rapports et les discours tenus sur les conditions des MSG africaines par les ONG et États occidentaux sont largement instrumentalisés et trop peu nuancés. Paradoxalement, ces discours et rapports sont – et restent – l’une des rares plateformes qui offrent une visibilité, bien que passive, au-delà des frontières nationales et continentales sur ces questions. Il est à noter que la pérennisation de cette visibilité particulière sur la scène internationale pousse certains États à s’autocongratuler en permanence dans leurs rapports avec leurs MSG, car convaincu d’avoir une supériorité morale et culturelle. À titre d’exemple, les MSG africaines sont souvent présentées comme des victimes à sauver et dépossédées de toute agentivité, c’est-à-dire de capacité à développer une pensée indépendante et à choisir librement d’agir en fonction de leurs idées.
Dans ces discours et rapports, sont mis de côté le rôle de l’héritage colonial et du puritanisme victorien qui ont pourtant grandement contribué à la quasi-éradication sociale, juridique et culturelle des pratiques et des identités sexuelles et de genre dites « minoritaires » de nos jours. Historiquement, les sociétés africaines précoloniales avaient une approche de la sexualité et du genre plus complexe et nuancée. Ces sexualités et genres s’inscrivaient alors dans des contextes politiques, religieux et sociaux précis, tels que les rites initiatiques (comme le passage à l’âge adulte), l’entrée dans les sociétés secrètes, le veuvage etc. De nos jours encore, les langues africaines attestent de l’existence de ces pratiques sexuelles et des genres diverses. En Kirundi (Burundi) par exemple, le mot « Kwitomba » désigne les rapports homosexuels. En Swahili (Afrique de l’Est), le mot « Kufira » désigne l’homosexualité masculine, et « Kulambana » l’homosexualité féminine. En Yoruba (Afrique de l’Ouest), le mot « Adofuro » désigne parfois l’homosexualité masculine. En Haoussa (Afrique de l’ouest et centrale), le mot « Yan daudu » tout comme « Goor Djiguene » en Wolof (Afrique de l’Ouest) désigne une caste/profession en lien avec le travestissement et la transidentité féminine.
(Inter)nationalisme de la condition des minorités sexuelles et de genre
En 2011, lors d’un discours à Genève, Hillary Clinton déclarait : « Gay rights are Human rights » [Les droits des gays sont les droits humains]. Dans la même lignée, les États-Unis ont fait de la lutte pour les droits des MSG un élément de leur politique étrangère, utilisant leurs aides et leur diplomatie pour rappeler que les droits des MSG sont un droit humain inaliénable dans les pays du Sud.
Depuis des années, ce genre de discours trop souvent moralisateur n’a pas changé positivement la vie des MSG au niveau local. Bien au contraire, ils ont mis au devant de la scène nationale et du débat politico-médiatique de nombreux pays africains, la figure de l’homosexuel(le) comme bouc émissaire de tous les maux. L’homosexuel(le) et son humanité sont devenus un objet de débat pour les politiciens et leaders fondamentalistes à la recherche d’une approbation populiste ou tout simplement une tactique de diversion face aux questions de mal gouvernance et de corruption. C’est entre autres en réaction à l’internationalisation de la question des droits des MSG depuis ces dernières années que l’on assiste à une recrudescence des violences d’une partie de la société civile, sous le regard silencieux (sinon complice) des institutions étatiques. Nombreux sont, par ailleurs, les États qui ont mis en place de nouvelles lois renforçant l’application des textes hérités du système social et juridique colonial, criminalisant les rapports sexuels et amoureux entre des adultes consentants de même sexe. Sur le continent, l’on peut notamment citer le Tchad (2017), le Nigéria (2014), l’Ouganda (2014), le Malawi (2010), le Sénégal (2008), le Cameroun (2010) ou encore le Zimbabwe (2006).
Homosexualité en Afrique : Que disposent les lois ? (2021)

Les fondamentalismes religieux : l’impact d’une interprétation rigoriste des dogmes religieux
Le populisme ainsi que les fondamentalistes (chrétiens, musulmans et dans des cas moindres, animistes) jouent à ce jour un rôle clé dans la désinformation et l’ostracisation des MSG africaines malgré des contextes et des particularités différentes en fonction des pays. Le cas du fondamentalisme chrétien et de ses ramifications internationales via des groupes évangélistes occidentaux est d’autant plus alarmant qu’il est timidement documenté. Dans les faits, perdant du terrain en Europe et aux États-Unis, nombreuses sont les organisations de droite et ultra-conservatrices qui se sont déployées en Afrique à la fin des années 2000. En l’espace de quelques décennies, les résultats de leur lobbying sont visibles partout, notamment au niveau des politiques de santé et familiales, comme le démontre le récent projet de loi anti-gay contre les mobilisations militantes et associatives au Ghana en 2021, et auparavant les lois anti-gay en Ouganda (2014) inspirées par des militants évangélistes venus d’Amérique du Nord. Les hétérosexualités africaines sont aussi au cœur de ces influences notamment à travers la politisation du corps des femmes via des campagnes et des lois anti-avortement renforcées dans de nombreux pays comme le Kenya, Zimbabwe ou la Zambie.
Le fondamentalisme islamiste est, quant à lui, tout aussi complexe. Cependant, il suit globalement la même approche que celle du fondamentalisme chrétien puisqu’il modèle les sexualités africaines (hétérosexuelles ou homosexuelles) en installant des normes et interdits là où il n’y en avait pas ou peu par le passé. Par exemple, dans le cas du Sénégal et des pays d’Afrique majoritairement ou partiellement musulmans, l’on ne peut ignorer le rôle qu’a joué l’interprétation rigoriste des textes religieux. On peut notamment établir une corrélation entre la pénétration wahhabite en Afrique et le déclin de la condition des MSG traditionnelles dans l’imaginaire collectif. L’inspiration et les liens avec le Wahhabisme, qui débute dans les années 1960, marque d’abord grandement l’élite estudiantine africaine puis les populations marginalisées, rurales et précaires. Cette popularité dans le cas du Sénégal a donné lieu à une altération dans les dogmes religieux et les interprétations traditionnelles de l’islam par les confréries religieuses. C’est ainsi que débuta la lente marginalisation des Goor Djiguenes qui pourtant, dans l’Islam d’inspiration soufi majoritaire au Sénégal, étaient tolérés au sein de la société. Hors du Sénégal, un parallèle est aussi visible dans la condition des Yan daudu dans les communautés Haoussa de l’Afrique centrale et de l’Afrique de l’ouest.
Le rejet de l’impérialisme et du nationalisme sexuel : distinguer ce qui relève de la posture des faits
Le rejet de l’impérialisme sexuel et de l’homonationalisme en Afrique ne doit, et ne peut, être synonyme d’homophobie, bien que la confusion soit facile à faire comme le souligne Joao Gabriel dans son article « Homonationalisme : distinguer ce qui relève de la posture et ce qui relève des faits ». De plus, il convient de ne pas considérer l’homophobie uniquement comme une importation ou une création venue hors du continent et/ou faire du rejet de l’homonationalisme et de l’impérialisme sexuel la cause de l’homophobie. Le puritanisme et la morale victorienne visible dans les codes pénaux africains plus de 60 ans après les indépendances, ainsi que la monté des fondamentalismes religieux démontre qu’il y a une volonté d’une élite politique de pérenniser institutionnellement l’homophobie et de standardiser une certaine vision de l’hétérosexualité comme une sexualité étatique.
La colonisation, et surtout la décolonisation ont apporté avec elles une perte de nuance et de complexification des genres et des sexualités africaines. Ainsi, Area Scatter, pianiste et cantatrice adulée par le peuple et la royauté igbo (Sud-Est du Nigéria) dans les années 1970 serait aujourd’hui moins bien reçue dans le Nigéria actuel. L’on assiste actuellement à un véritable désengagement au niveau étatique pour les initiatives pédagogiques sur la condition des MSG. Pourtant, en 1997, Dakan, le dernier film du réalisateur guinéen Mohamed Camara, était principalement financé par l’État guinéen, qui n’ignorait pas que le film était centré sur une relation amoureuse et tragique entre deux jeunes hommes, Manga et Sory.
Dépendance économique et autodétermination : l’asymétrie relationnelle entre l’occident et les acteurs locaux
Dans un discours prononcé à Vienne en 2011, lors de la pré-conférence MSM [Men who have sex with men, c’est-à-dire les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes], Joel Nana, militant panafricain pour le droit des MSG, exprimait déjà les limites de l’asymétrie relationnelle entre l’Occident et les acteurs locaux. Comment donner une légitimité aux ONG africaines quand la dépendance économique, l’assistanat et l’ingérence par le proxy (des conservateurs d’ultra droites déchus de leurs nations) persistent ? On peut noter que le financement par les organisations et États occidentaux participant réellement à l’autonomisation/autodétermination des communautés et des acteurs locaux est encore trop peu présent. Les mesures mises en place sont similaires à celles des aides publiques au développement (APD) puisque les actions, activités et stratégies sont très souvent prédéfinies et conditionnées par les donateurs. Cela laisse ainsi une faible marge de manœuvre aux organisations locales. Il s’agit principalement des questions liées à la santé sexuelle, l’assistance juridique et l’hébergement. Dans un contexte d’austérité budgétaire et d’autoritarisme, il est dommage que la libération des MSG ne soit pas centrée sur les thématiques locales comme la vie politique et l’économie.
Toutefois, les acteurs locaux ne sont en aucun cas des victimes de cette relation asymétrique. Incontestablement, les relations qu’elles nouent volontairement en tant qu’aidées avec les organisations et États occidentaux sont inégalitaires en termes de pouvoir économique mais aussi de visibilité sur la scène internationale. C’est aussi à cause du désintérêt de la question financière par certains États et d’une partie de la société civile, que les ONG locales consentent à ces relations. Il serait temps de mettre en place des réseaux alternatifs au niveau national, continental et voire diasporique pour un financement, une visibilité et des actions militantes et pédagogiques tournées vers et pour les populations.
Mythe intellectuel ou moral : les réalités de la décriminalisation et de la tolérance
L’Afrique du Sud et le Bostwana sont de parfaits exemples d’un nouveau phénomène appelé le pinkwashing. Cela désigne le fait de promouvoir des avancés pour les droits individuels des MSG à l’échelle internationale comme preuve d’une modernité assumée, tout en peinant à répondre aux violations des droits humains contre d’autres groupes minoritaires (les pauvres, les sans-papiers, les étrangers, les peuples autochtones etc.). Quand la décriminalisation devient un instrument politique pour certaines nations et régimes à la recherche d’une respectabilité, il est difficile d’y adjoindre des demandes structurelles en lien avec la démocratie, le niveau de vie, les politiques de santé, l’emploi, l’éducation etc. Ainsi décriminaliser ne peut suffire s’il n’y a pas une volonté pédagogique et l’objectif d’améliorer les conditions économiques et sociales auprès de l’ensemble de la population. Par ailleurs, il faut noter que la grande majorité des pays africains ne criminalisent pas les rapports entre personnes de même sexes. Pour autant, la réalité sociale et économique ne met pas les MSG précaires et pauvres à l’abri des violences, des agressions, des assassinats, des viols, des tortures et du chantage. À ce sujet, l’Afrique du Sud (pays où le mariage pour tous/toutes a été promulgué au début des années 2000) est un exemple de la pérennisation des violences malgré la décriminalisation et l ‘acquisition de droits civiques pour les MSG.
Le piège de la tolérance : comment Dieu, les gènes et les bonnes intentions sabotent l’égalité des minorités sexuelles et de genre africaines
Dans son livre The Tolerance Trap, Suzanna Walters tout comme Patrick Awondo, remet en cause la binarité entre homosexualité et hétérosexualité apparu au milieu du XXème siècle. Elle souligne aussi les limitations de l’identité sexuelle perçue comme inamovible, ainsi que de nombreux points contestables et à déconstruire dans l’argumentation militantes qui, pour elle, mène au piège de la tolérance souvent perçue (à tort) comme un progrès :
- « Born this way » [Né ainsi] : puisque ce sont les gènes qui déterminent l’orientation sexuelle, il s’agit donc d’une sexualité qui doit être naturalisable. Pourtant, cette approche est critiquée car la science réfute l’existence d’un « gène de la sexualité ». On y voit aussi le risque de pathologiser des sexualités hors de la « norme hétérosexuelle ».
- « God made me this way » [Dieu m’a fait ainsi] : Dieu devient l’argument qui rend légitime l’acquisition des droits civiques et d’une respectabilité et même d’une humanité. Cette position bien que louable est malgré tout dangereuse dans un contexte où le fondamentalisme est rampant, l’apostasie est facile.
- « Tolerance » [Tolérance] : Être toléré par autrui est un but majeur du coming-out. Pourtant, l’on met trop souvent de côté sa nature aliénante, performative, redondante car il faudrait infiniment et à chaque rencontre sociale, décliner et ou actualiser son genre et sa sexualité. Cela sous-entend aussi qu’il y aurait quelque chose de honteux et inhérent à ceux-ci.
Sans vouloir débattre de l’humanité des MSG, il faudrait miser sur une approche à la fois pédagogique et décoloniale à l’égard de la population générale. L’information et la déconstruction de la déshumanisation de l’autre constitue une alternative bien plus enviable, qu’une tolérance moralisatrice érigée en nouvelle orthodoxie du progrès, et où Dieu et la science, sont les uniques arguments pour accorder ou nier à autrui une humanité, une respectabilité et des droits civiques. Preuve à l’appui de l’urgence d’un changement d’approche est l’attitude fortement négative des sociétés africaines envers ces minorités comme le montre une enquête de 2014/2015 d’Afrobarometer menée au sein de 33 pays africains.

Plus que jamais, il est vital pour les sociétés africaines de faire entendre des analyses critiques et complexes sur les sexualités et les genres issues de leurs propres réalités. De même, il est nécessaire de dénoncer l’instrumentalisation des sexualités africaines (hétérosexuelles ou homosexuelles) dans les échanges internationaux. Par ailleurs, il faut aussi noter qu’il est possible de lutter pour la libération des MSG tout en dénonçant son instrumentalisation dans la vie politique nationale via la criminalisation ou la décriminalisation. Les institutions étatiques ne peuvent plus faire mine d’ignorer leurs réalités. Au-delà de la santé sexuelle, ils doivent se saisir de la question de l’impunité des crimes et des atteintes à l’intégrité des MSG, à défaut de faire preuve de courage en se prononçant pour l’abrogation des lois. Par ces actions, les institutions pourraient accompagner et au mieux, co-créer un écosystème sain et nécessaire pour que les acteurs locaux s’unissent et collaborent au niveau national et continental. Dans un contexte sain, les ONG africaines pourront trouver et appliquer des solutions endogènes, alternatives et pragmatiques pour mener leurs combats à bien, tout en s’affranchissant des toutes les contraintes et instrumentalisations possibles par des donateurs et des institutions ou partenaires. Enfin, pour les plus fervents militants panafricains, traditionalistes et anti-impérialistes, il faut garder en tête que la critique de l’impérialisme sexuel ne peut se faire uniquement à travers la critique de l’homonationalisme, les nouvelles hétérosexualités africaines sont aussi à questionner, en plus de l’individualisme.
Auteur :
Liko IMALET, est un artiste audiovisuel basé à Paris. Il est étudiant à l’école de management de la Sorbonne, membre de Justice For Cameroon et Secrétaire général de l’AMECAS.
Bibliographie :
AD74 : Bons voisins ? Les Africains démontrent un sens élevé de la tolérance envers beaucoup, mais pas tous, 19 May 2020, Afrobarometer.
Aïda Ammour, Laurence. « La pénétration wahhabite en Afrique ». CF2R, Rapport de recherche N°23 / janvier 2018.
Broere, Kees.“Religions. Des sectes américaines à l’assaut de l’Afrique”. Volkskrant (en français : le Journal populaire ).
Dakan, un film de Mohamed Camara (1997)
Demange, Élise. “De l’abstinence à l’homophobie : la « moralisation » de la société ougandaise, une ressource politique entre Ouganda et États-Unis”. Politique africaine, 2012/2 (N° 126), pages 25 à 47.
Discours de la secrétaire d’État Hillary Clinton à l’occasion de la Journée des droits de l’homme, prononcé à Genève, Transcription du bureau des communications de la Maison Blanche (2011).
Discours prononcé à Vienne (Autriche) en 2010, par Joël Nana lors de la pré-conférence MSM, à la Conférence internationale sur le SIDA, (La première partie et deuxième partie).
Droits LGBT+ : de l’intime au politique (4 épisodes), “Épisode 2 : De Dakar à Pretoria : sortir de l’homophobie d’État”, France Culture avec Boris Bertolt.
Gabriel, Joao. «Homonationalisme : distinguer ce qui relève de la posture et ce qui relève des faits». Le blog de Joao (2016).
Introduction d’Area Scatter, joueuse de piano à pouce, cantatrice en langue Igbo, et fondatrice du groupe « Ugwu Anya Engbulam », [Le mauvais œil ne me tuera pas] dans le documentaire Beats of the Heart: Konkombe / Kokombe : The Music of Nigeria de Jerry Marre, 2000.
Les confréries religieuses au Sénégal : garantes de la cohésion sociale ?, Awa Ndiaye, AMECAS.
Puar, Jasbir. Terrorist Assemblages: Homonationalism in Queer Times [Rassemblements terroristes : L’homonationalisme sous l’ère queer]. Duke University Press, 2007, page 37.
Walters, Suzanna. The Tolerance Trap: How God, Genes, and Good Intentions Are Sabotaging Gay Equality. NYU Press, 2014.