Le groupe Wagner : un nouvel allié de choix pour les États africains ?

Alors que le président français Emmanuel Macron  annonçait la fin de l’opération Barkhane en juin dernier, les autorités maliennes de la transition, via la voix de leur Premier ministre Choguel Maïga,  avaient exprimé le besoin de « chercher de nouveaux partenaires » pour combler le vide laissé par la France. 

Le Mali serait dès lors  entré en négociation avec le groupe paramilitaire russe Wagner, comptant 2500 à 5000 mercenaires en son sein1. Cette décision a été décriée par Paris et notamment par Jean-Yves le Drian, le ministre français des Affaires étrangères, qui considère le recours au groupe paramilitaire comme « incompatible » avec la présence militaire française au Mali. 

En janvier 2019 déjà, l’homme d’État français dénonçait ouvertement la présence des mercenaires du groupe en République centrafricaine, où les troupes françaises ont été présentes de 2014 à 2016 dans le cadre de la guerre civile opposant les anti-balakas à la Seleka (Les « anti-balaka » sont des paysans de religion traditionnelle et/ou chrétiens constitués en milices d’autodéfense initialement pour se défendre contre les coupeurs de route, les bergers peuls dont le bétail abîme leurs cultures et à l’Armée de résistance du Seigneur (LRA). La Séléka renvoie à un groupe assez hétérogène de rebelles centrafricains de confession musulmane opposés au régime de l’ex-président centrafricain François Bozizé et désormais opposés au régime du président Faustin-Archange Touadéra. La Séléka compterait 20 000 hommes et recevrait l’appui du Tchad). Le 20 septembre 2021, la ministre française des armées, Florence Parly, se rendait à Bamako afin de signifier à son homologue malien, le colonel Sadio Camara, que la France ne pouvait pas cohabiter avec des mercenaires. 

Alors que les rumeurs autour de cette alliance se faisaient de plus en plus pressantes, un nouveau revirement a eu lieu début novembre 2021. En effet, au cours d’une rencontre qui s’est tenue à Moscou le 12 novembre dernier, les ministres des Affaires étrangères russe et malien ont affirmé « qu’aucun contrat » n’avait été signé avec le groupe Wagner et ont laissé entendre que ce n’était pas envisagé pour le moment.

C’est en 2014 que le groupe Wagner a fait parler de lui pour la première fois, suite à son implication dans le conflit en Ukraine. Il s’en suivra une intervention en Syrie à partir de 2015, où des hommes du groupe se seraient filmés en train de commettre des exactions à l’encontre d’un militaire syrien ayant déserté.

Ce n’est qu’à partir de 2018 que ces mercenaires russes auraient été déployés en Afrique subsaharienne pour la première fois. En effet, le groupe opère dans plusieurs villes soudanaises depuis bientôt quatre ans. Il serait également présent au Mozambique, en Guinée-Bissau, en République démocratique du Congo, en Afrique du Sud et à Madagascar selon plusieurs sources. 

Quels sont les intérêts du groupe Wagner en Afrique ? Pour quelles raisons l’idée d’un recours à ce groupe paramilitaire par l’État malien crispe tant Paris ? Peut-on se fier aux dernières déclarations des ministres des Affaires étrangères malien et russe ? Pour certains dirigeants africains, il semble que le recours à ces mercenaires russes soit une alternative viable pour contrebalancer la présence des armées occidentales dans leurs pays, rien n’est moins sûr cependant.

Evgueni Prigojine : l’homme derrière le groupe Wagner

L’idée de création du groupe paramilitaire russe remonterait à 2012 selon La Chronique, média d’Amnesty International. Les renseignements et les hauts responsables russes avaient pour idée de former « une armée privée qui règlera les problèmes sans recourir à la force ». Son rôle consisterait à entraîner les forces locales, mais également à protéger les leaders politiques et les sites énergétiques dans des pays où la situation sécuritaire est instable. 

Evgueni Prigozhin (à gauche), homme d’affaires influent et proche du maitre du Kremlin. REUTERS/Misha Japaridze

L’un des hommes qui se cache derrière la création du Groupe Wagner est Dmitri Outkine, un ancien du GRU (le service de renseignement militaire russe) lui-même surnommé Wagner, comme le célèbre compositeur allemand. Militaire aguerri, l’ancien lieutenant-colonel assure les commandes opérationnelles du groupe. Toutefois, c’est à un autre homme qu’il doit sa position : Evguéni Prigojine, un oligarque russe proche de Vladimir Poutine.  L’homme serait l’actionnaire principal du Groupe Wagner, ce qui lui permettrait d’asseoir sa position au sein des proches du pouvoir russe. Surnommé « le cuisinier du Kremlin », Prigojine a d’abord fait fortune dans la restauration. Ancien délinquant, l’homme a été condamné à une dizaine d’années de prison pour braquage au début des années 1980. Après avoir purgé sa peine, l’ex-gangster a commencé sa nouvelle vie en vendant des hot dogs, puis en ouvrant un restaurant de luxe à Saint-Pétersbourg. C’est là qu’il fait la rencontre  de Vladimir Poutine, qui est alors fonctionnaire à Saint-Pétersbourg. Quelques années plus tard, Prigojine obtient de juteux contrats publics et fournit le Kremlin et des cantines à travers toute la Russie.

Par la suite, l’homme n’hésite pas à mettre sa fortune au service de Moscou, en finançant l’Internet Research Agency (IRA), la société accusée d’ingérence dans les élections américaines de 2016. Basée à Saint-Pétersbourg, l’entreprise propage des fake news à la chaîne. L’oligarque aurait par ailleurs entrepris des déplacements réguliers sur des zones de conflits armés, notamment en Afrique et au Moyen-Orient. 

L’homme incarne donc à lui seul la présence informelle russe en Afrique, tant d’un point de vue informationnel que militaire. 

Des opérations opaques en Afrique, au carrefour d’intérêts économiques et géopolitiques  

À partir de 2018, le groupe Wagner commence à opérer au Soudan et en Centrafrique. Véritable symbole de l’influence russe sur le continent africain, l’opération en Centrafrique s’appelle « Tsaritsyno » dans le manuel des mercenaires russes. L’opération tient son nom du plus grand palais néogothique d’Europe situé dans la banlieue de Moscou. Entre 535 et 1 000 hommes de Wagner seraient actuellement déployés en Centrafrique, où ils occuperaient le palais de Barengo, l’ancienne demeure de l’empereur centrafricain autoproclamé Bokassa Ier. 

Les missions des mercenaires de Wagner en Centrafrique consistent en la formation des militaires et du personnel militaire centrafricain. Les paramilitaires combattent également aux côtés des forces armées centrafricaines, en plus d’assurer la protection du président de la République centrafricaine, Faustin-Archange Touadéra, face aux rebelles qui ont la mainmise sur les deux tiers du territoire. Enfin, les mercenaires assurent la protection de mines d’or et de diamants, en contrepartie d’un pourcentage sur les revenus générés par ces mines. 

Mercenaire russe (au centre) à Bangui, Centrafrique, le 27/12/20 – Alexis Huguet/AFP

Bien que la présence des mercenaires du groupe en Centrafrique ne laisse que peu de place au doute, Touadéra assurait récemment ne jamais avoir « signé avec une entreprise qui s’appellerait Wagner » et pour cause : la République centrafricaine ayant ratifié la Convention de Genève, le recours à des mercenaires en constituerait une grave violation. Interrogé au sujet « d’une société militaire privée » (dont le nom a bien évidemment été tu) au sommet de VALDAI d’octobre 2021, Vladimir Poutine a quant à lui déclaré que ces sociétés « ne représentaient pas les intérêts de l’État russe. »

Rappelons à cet égard que le mercenariat est interdit par l’article 348 du code criminel russe. La société Wagner n’existe donc nulle part légalement, ce qui tend à rendre les actions en justice intentées contre elle difficiles.  

Malgré les affirmations des chefs d’État russe et centrafricain, plusieurs enquêtes des Nations Unies attestent de la présence de ces mercenaires à Bangui. De plus, selon une enquête de Mediapart parue en 2019, de nombreux contrats d’exploration et d’exploitation des ressources minérales locales ont été octroyés à des sociétés liées à Prigojine. C’est le cas de Lobaye Invest et de St.Petersburg LLC M Invest qui ont reçu l’autorisation d’exploiter les gisements aurifères, diamantifères et d’autres minéraux en RCA mais également au Soudan, où, rappelons-le, les mercenaires du groupe Wagner opèrent depuis 2018. Le Soudan, où le groupe a formé les Forces de soutien rapide (FSR) dans la région du Darfour, a d’ailleurs servi de point de passage afin de faire transiter des armes et du personnel soudanais vers Bangui.

Au Mozambique, si l’émergence d’Anzar As Sunnah, un groupe terroriste ayant fait allégeance à Daesh en 2018, a abouti en un accord militaire de cinq ans entre Moscou et Maputo, c’est finalement l’envoi du groupe paramilitaire qui a été acté en septembre 2019. Or, le groupe terroriste prétend vouloir instaurer un État islamique dans la province de Cabo Delgado dans le nord du Mozambique, une province riche en pétrole et en gaz naturel où d’importants investissements étrangers ont été opérés. La région abrite également les plus grands gisements mondiaux de rubis et de saphirs roses.

Mais la manne financière n’est pas le seul intérêt du Kremlin en Afrique subsaharienne. Véritable instrument géopolitique, le groupe Wagner permet à la Russie d’affirmer son retour sur la scène internationale et de poursuivre son retour sur le continent africain, amorcé en 2006. Le groupe a pour habitude de déployer ses mercenaires dans des pays où la France et (dans une moindre mesure) les États-Unis ont cessé leurs interventions (à cet égard, on peut citer  l’intervention des paramilitaires en Syrie à partir de 2015). L’exemple le plus probant est le déploiement des mercenaires russes en Centrafrique à partir de 2018, précisément au moment où la France avait mis fin à l’opération Sangaris puis y est probablement revenue à la suite de la présence russe formelle et informelle.  

L’usage de mercenaires n’est pas nouveau pour le Kremlin, mais tient plutôt à la pratique russe d’envoyer des acteurs non-étatiques dans certaines zones de conflits, parce que le coût politique et le coût économique d’un recours à des soldats réguliers serait trop important. « Une corporation d’entreprises militaires privées serait un outil efficace pour réaliser les objectifs nationaux sans faire appel à la participation directe de l’Etat russe », déclarait ainsi Poutine en 2012.

L’intervention au Mozambique : une lourde défaite pour le groupe Wagner

Selon Marat Gabidoulline, un ancien mercenaire du groupe, le niveau de préparation des hommes de Wagner serait désormais approximatif, la moitié des recrues n’ayant jamais été au combat. Les éléments plus expérimentés quant à eux, ne « pense[raient] plus à la victoire », mais uniquement à survivre. 

C’est l’une des raisons qui expliquerait le revers que la société paramilitaire a essuyé au Mozambique. En effet, une douzaine d’hommes ont été tués dans des embuscades d’Anzar As Sunnah. Des experts militaires ont affirmé que « tenter d’appliquer une approche stratégique de style européen ou russe à un conflit africain était une recette pour un désastre. »

Défaits par Anzar As Sunnah, les quelque 200 mercenaires ont donc dû battre en retraite. Ajoutons à cela que leurs relations avec les forces armées de défense du Mozambique se sont détériorées après que des tirs amis ont provoqué la mort de combattants russes. 

Des exactions commises en Centrafrique

Un rapport d’experts spécialisés dans le recours aux mercenaires et rattachés au Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme accable les paramilitaires russes et les forces de sécurité centrafricaines. Trois sociétés privées russes sont pointées du doigt dans ce rapport, la plus connue étant Wagner. Les autres sociétés sont Sewa Service et Lobaye Investments. La première a été créée afin d’envoyer les premiers instructeurs russes en Centrafrique en 2017 et agit comme une société écran de Wagner.  La seconde est une société minière opérant en Centrafrique depuis 2018.

Pas moins de 207 violations des droits humains auraient été commises par les bourreaux, parmi lesquelles des « exécutions arbitraires/extrajudiciaires, des tortures, des violences sexuelles, des traitements cruels, inhumains et dégradants et des arrestations arbitraires » commis entre décembre 2020 et avril 2021. 

En plus des nombreuses frictions entre les paramilitaires russes et les membres de la Minusca, la mission de maintien de la paix des Nations unies (comptant 15 000 soldats), le groupe aurait également pris des minorités musulmanes et peules pour cible. À Alindao, ville située dans le Sud du pays, les mercenaires ont réussi à chasser les rebelles, pour le plus grand bonheur de la population. Mais ce bonheur aura été de courte durée puisque plusieurs témoins d’Alindao et des villages aux alentours racontent que les mercenaires auraient commis des viols et des tueries à l’encontre de la population. 

Il faut ajouter à cela le meurtre de trois journalistes russes qui enquêtaient sur le Groupe Wagner et son lien avec les sociétés minières en juillet 2018. Selon la version des autorités russes, l’assassinat des journalistes aurait eu lieu lors d’un vol à main armée, fait totalement plausible au vu du contexte sécuritaire centrafricain, mais difficilement crédible au vu du sujet de l’enquête des correspondants.

Un recours au groupe Wagner qui semble réservé aux États défaillants… voire faillis. 

Si la présence française et plus généralement la présence d’armées occidentales (dont d’ex-puissances colonisatrices) en Afrique subsaharienne dérange en termes de symbolique, la présence de mercenaires devrait susciter bien plus d’indignations et d’inquiétudes. La délégation, même partielle, des fonctions régaliennes que sont la sécurité et la défense à un groupe privé n’a d’autre signification que la défaillance, voire la faillite d’un État. Au classement des États fragiles opéré par le Fund for Peace, la Centrafrique, le Soudan et le Mozambique occupent respectivement les sixième, huitième et vingt deuxième rangs sur 179 pays étudiés. 

De nombreux États africains en crise semblent vouloir apporter une réponse majoritairement militaire aux situations sécuritaires auxquelles ils font face, mais cela ne saurait répondre à des questions relevant surtout de leur mauvaise gouvernance et du manque de confiance des populations à leur égard. Comment l’intervention de mercenaires russes  (déployés en grande partie dans le but de protéger des leaders contestés, d’exploiter des ressources naturelles et de miner l’influence française en Afrique) pourrait aboutir à la résolution de conflits armés dont la source est avant tout politique ? 

Une prochaine intervention au Mali ? 

La junte militaire malienne et le groupe Wagner seraient entrés en pourparlers depuis quelques mois, mais leur accord bloquerait sur des questions financières, le coût mensuel du recours aux mercenaires étant estimé à plus de 9 millions d’euros par mois. De plus, le groupe aurait déjà commencé les recrutements pour cette opération. Toutefois, la récente déclaration des ministres des Affaires étrangères malien et russe vient semer le doute quant à la concrétisation de cet accord. Cependant, en prenant en compte le cas centrafricain (dont le président réfute la présence du Groupe Wagner sur son territoire en dépit de nombreux témoignages) l’on peut supposer que l’État malien souhaite conserver cette option en réserve. Le recours au Groupe Wagner viendrait alors en complément de l’action de l’armée russe.

De fait, en cas d’implantation effective, les mercenaires mèneraient certainement des missions bien différentes de celles de l’armée française et de ses alliés. Premièrement, les financements du groupe étant plus limités que ceux de l’armée nationale russe, ses moyens techniques ne lui permettraient pas d’agir au Sahel. Deuxièmement, la présence des mercenaires au Mali pourrait n’être qu’un prétexte pour garder un œil sur la Guinée Conakry, pays où la Russie a des intérêts. 

Malgré cela, l’arrivée du groupe Wagner au Mali obligerait tout de même la France à revoir son agenda dans le pays. Si Paris (qui a décidé de réduire ses effectifs de moitié au Sahel d’ici fin 2023) a émis une nette objection à l’égard de l’usage des hommes de Prigojine par l’État malien, une présence russe de cette envergure dans son pré carré témoignerait de sa perte d’influence au profit de la Russie en Afrique. 

Cela fait déjà deux ans que le Groupe a approché le Mali, alors dirigé par Ibrahim Boubacar Keïta. Deux coups d’État plus tard, le Mali est désormais un terreau propice pour les affaires du groupe de mercenaires. La possibilité de faire appel au groupe Wagner semblait être, pour plusieurs experts, une manœuvre de Bamako pour convaincre la France de maintenir l’ensemble de ses troupes, qui à terme devraient se replier au Niger, dans le Sahel malien. Ajoutons à cela que les forces spéciales européennes de l’opération Takouba pourraient suivre les forces françaises en cas d’accord entre la junte et Paris. Il va sans dire qu’il pourrait en être de même pour les forces américaines, qui ont mis Bamako en garde quant à ce dossier, et qui fournissent un appui logistique et informationnel indispensable aux forces françaises. 

Wagner au Mali : un danger pour les populations maliennes 

Comme leurs homologues centrafricains, les forces armées maliennes ont été accusées d’exactions envers les populations civiles. Selon l’ONG Armed Conflict Location & Event Data Project (Acled), 535 civils auraient été pris pour cible par les forces de sécurité du pays entre 2017 et 2020. 

De nombreux témoignages rapportent l’implication de soldats maliens dans des exactions spécifiquement commises à l’encontre d’hommes peuls, ces derniers étant suspectés par ces soldats d’être des djihadistes. La collaboration entre des soldats maliens et des paramilitaires russes, eux-mêmes connus pour perpétrer des exactions, ne pourrait donc qu’accroître le nombre de violations de droits humains constatés au Mali. Dans l’hypothèse d’un accord avec le groupe Wagner, le pouvoir du chef de la junte, Assimi Goïta s’en trouverait consolidé, comme l’ont souligné Joseph Siegle et Daniel Eizenga de l’Africa Center. Ainsi, l’arrivée du Groupe Wagner ne présagerait rien de bon pour les populations maliennes, qui traversent déjà la pire crise de leur histoire depuis bientôt dix ans…  

Article rédigé par Keïsha Ndiaye Mbalé.


Sources 

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COLOMA Tristan, « La stratégie économico-militaire russe au Mozambique », IFRI [En ligne], [Réf de 4 mai 2020] Disponible sur : https://www.ifri.org/sites/default/files/atoms/files/coloma_strategie_russe_mozambique_2020.pdf

LALANNE Charlotte, « Centrafrique… Mali : comment les mercenaires russes de Wagner tissent leur toile », L’Express  [En ligne], [Réf du 4 octobre  2021] Disponible sur : https://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/centrafrique-mali-comment-les-mercenaires-russes-de-wagner-tissent-leur-toile_2159495.html

BLANCHARD Sandrine, CASCAIS Antonio, « Des mercenaires russes en Centrafrique », DW  [En ligne], [Réf du 15 avril  2021] Disponible sur : https://www.dw.com/fr/des-mercenaires-russes-en-centrafrique/a-57211628

JOUVE Arnaud, « Russie : Wagner,le bras armé privé de Moscou », RFI  [En ligne], [Réf du 1 février  2020] Disponible sur : https://www.rfi.fr/fr/europe/20200201-groupe-wagner-une-société-militaire-privée-russe

BENDHAOU Fatma, « Afrique : le groupe russe, Wagner, serait présent dans plusieurs pays », AA [En ligne], [Réf du 6 mars 2021]
Disponible sur : https://www.aa.com.tr/fr/afrique/afrique-le-groupe-russe-wagner-serait-présent-dans-plusieurs-pays/2166746

VENDRELY Matthieu, « Le groupe Wagner, ces mercenaires “prêts à donner leur vie dans la lutte pour la justice” », TV5 Monde [En ligne], [Réf du 14 septembre 2021] Disponible sur : https://information.tv5monde.com/afrique/le-groupe-wagner-ces-mercenaires-prets-donner-leur-vie-dans-la-lutte-pour-la-justice-424361

NEXON Marc, « Les confessions d’un mercenaire russe », Le Point  [En ligne], [Réf du 8 décembre 2020] Disponible sur : https://www.lepoint.fr/monde/les-confessions-d-un-mercenaire-russe-08-12-2020-2404750_24.php

Youtube. RFI. Centrafrique : enquête sur les exactions russes, [Réf du 5 mai 2021] Disponible sur : https://www.youtube.com/watch?v=qsshwMJhJfA

Haut-commissariat des Nations-Unies aux droits de l’homme,  « Le Conseil des droits de l’homme se penche sur les situations en Ukraine et en République centrafricaine », [Réf du 9 juillet 2021] Disponible sur : https://www.ohchr.org/FR/NewsEvents/Pages/DisplayNews.aspx?NewsID=27294&LangID=F

MUNSHI Neil, SEDDON Max, « Russian mercenaries leave trail of destruction in Centrafrican Republic », FT  [En ligne], [Réf du 22 octobre 2021] Disponible sur : https://www.ft.com/content/020de965-429e-4fb9-9eed-f7e4370514b3?sharetype=blocked 

SIEGLE Joseph, Eizenga Daniel, « Russia’s Wagner Play Undermines the Transition in Mali », Africa Center for Strategic Studies [En ligne], [Réf du 23 septembre 2021] Disponible sur : https://africacenter.org/spotlight/russia-wagner-undermines-transition-mali/?fbclid=IwAR1IfKAJPC2386ekKM1XMo_aasJpKoLUbRFgpbrh-IHiYqSFBQfxCBW0PFY

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